Ce sixième séminaire s’est déroulé chez les Bénédictines du Sacré-Cœur de Montmartre.
Les participants ont été plus nombreux que l’année passée. Nous étions une cinquantaine. Jusqu’à présent, les nouveaux participants rejoignent le groupe car ils nous ont connu par le « bouche-à-oreille », la publicité parue dans Famille Chrétienne ou France Catholique, ou bien encore en consultant le site mis sur internet par nos amis Mexicains. Ils ont alors contacté directement Annie Bardet.
Ce fut, une fois de plus, l’occasion de nous retrouver dans une ambiance de réelle communion fraternelle et d’échanger autour de l’oeuvre de Jean-Gaston BARDET, à partir des conférences fort intéressantes qui nous ont été proposées et dont vous trouverez le détail ci-dessous.
L’organisation des séminaires est prévue pour permettre à la fois des apports concernant l’oeuvre de Jean-Gaston BARDET : c’est l ‘objet des différentes conférences ; des moments d’échanges à partir du contenu des conférences ; des moments de partage fraternel au cours des repas et des temps libres; des moments de recueillement, de prière en communauté, lors des offices.
Le programme de ce séminaire est accessible par le lien suivant : Programme Séminaire 2004
Vous trouverez ci-après un résumé de cinq des huit présentations qui ont fait l’objet de ce séminaire.
Si vous souhaitez faire des commentaires ou poser des questions sur les thèmes abordés, vous pouvez le faire en cliquant sur le lien suivant : commentaires ou questions
LA SIGNATURE DU DIEU-TRINE
Jean-Gaston BARDET a écrit « La Signature du Dieu-Trine » en 1983. Il développe dans cet ouvrage une dizaine d’essais publiés à partir des années 50 et portant sur les relations entre la Science et la Foi.
Cet ouvrage regroupe aussi toutes les prophéties sur la Miséricorde infinie et parle de l’héritage et de la mission spirituels de l’Occident, ainsi que du rôle dévolu à la France.
POUR TOUTE AME VIVANT EN CE MONDE
Cet ouvrage fut écrit en un mois, à la demande d’un prêtre, l’abbé André Combes , entre la Transfiguration et la Nativité de la Vierge. » : « Il fut écrit en un mois alors que j’étais brûlé par la Vive Flamme. » En 1952.
Le titre et le sous-titre nous donnent le but de cet essai :
– « Et sais-tu ce que nous faisons en écrivant ces pages ? Nous enlevons le préjugé que l’intimité de l’âme n’était possible que pour le religieux dans son cloître, tandis que mon Amour secret et tendre est, en réalité, pour toute âme vivant en ce monde »
Lui et Moi – Gabrielle Bossis – 12 janvier 1950
– « Il n’y a qu’un chemin (pour aller à Dieu) c’est l’oraison. Si on vous en indique un autre, on vous trompe. » Ste Thérèse d’Avila
Il s’agit donc d’un ouvrage tout particulièrement pour les laïcs, qui redonne les clefs pour « entrer sans risque dans la vie d’oraison ».
DE LA NEANTISATION A LA DIVINISATION
Dans tout être humain, on peut remarquer l’existence d’une dualité profonde. On peut voir que deux réalités contraires se partagent son cœur : une tendance à vivre dans la souffrance et un désir de vivre dans la paix intérieure. La vie consiste à sortir de cette lutte pour arriver à s’épanouir dans la paix et la joie.
MARIE A L’ILE BOUCHARD
En France, en décembre 1947, dans un contexte d’après guerre favorable à une insurrection communiste, la Très Sainte Vierge Marie apparaît en Touraine à quatre fillettes et les fait prier pour leur pays.
Après une première constatation des évènements par la hiérarchie diocésaine, les voyants furent pendant des années l’objet d’agissements occultes.
Il aura fallu plus de cinquante années d’une longue maturation, ainsi que « l’attitude constante de Jaqueline Aubry dans sa manière d’agir et de se laisser conduire avec humilité et obéissance » pour conduire Mgr André Vingt-Trois, alors archevêque de Tours, à la reconnaissance publique du droit de culte : « Depuis 1947, de nombreux catholiques viennent en pèlerinage à l’église paroissiale Saint Gilles de l’Ile Bouchard pour y vénérer la Vierge Marie. Ces pèlerinages ont porté de nombreux fruits de grâce. Sans jamais céder à l’attrait du sensationnel, ils développent un esprit de prière et contribuent à la croissance de la Foi des participants. Après avoir soigneusement étudié les faits et pris conseil des personnes compétentes, j’autorise ces pèlerinages et le culte public célébré en l’église paroissiale Saint Gilles de l’Ile Bouchard pour invoquer Notre Dame de la Prière, sous la responsabilité pastorale du curé légitime de cette paroisse. »
LE TRESOR SACRE D’ISHRAËL
Structure interne
Paru pour la première fois en 1970 sous le titre « Le Trésor secret d’IShraël », trente quatre années de recul confirment l’insolente justesse d’un livre hors du commun.
Avec les treize années de rédaction de l’ouvrage (1958-1970), nous avons une pensée qui remonte à près d’un demi-siècle.