IShRAËL connais ton DIEU

En tous les continents, les problèmes religieux sont remis au premier plan, soit par fanatisme, soit au contraire par recherche de fraternité spirituelle, tels les « fils d’Abraham ».

Les premiers chrétiens comme les juifs priaient ensemble au temple, jusqu’à son incendie, par les Zélotes eux-mêmes. Déjà, depuis la mort du Grand-Prêtre Siméon-le-juste, en -270, le sens exact de chacune des lettres divines du Tétragramme YHWH : Clef de la Thorah, était perdu.

La « Jewish Encyclopedia » recommande : « It will be proper to make a distinction between Jews, Christians, and anti-christian Ophites. » Ces derniers : adorateurs du Serpent, se cachaient dans le Temple d’Alexandrie, avant l’avènement du Christianisme. Tout s’est passé comme si cette secte occulte avait « désinformé » les Juifs pieux !

En effet, le texte esdraïque de la Thorah est la première utilisation de l’informatique, c’est-à-dire de la transmission de l’information au moyen de nombres.

Les Alexandrins plaquèrent une fausse numération grecque sur le texte en hébreu, le rendant ainsi totalement inintelligible.

En appliquant simplement le codage esdraïque au texte intouchable, l’auteur redonne la structure parfaite de la Thorah. La cohérence est absolue et la répétition insistante du duel : 47 – 58 résoud le problème Messianique.

Quelle que soit la langue, chacun peut contrôler, les nombres ayant valeur universelle.